L’étude menée avec la police cantonale bernoise apporte de nouvelles informations sur les anticorps et la protection contre les infections dues au coronavirus
Des scientifiques de l’Université de Berne ont étudié pendant plus d’un an, auprès de collaborateurs et collaboratrices de la police cantonale bernoise, les taux d’anticorps contre le Sars-CoV-2 et leur influence sur l’infection par différentes variantes du virus. Les résultats montrent notamment que les taux d’anticorps offraient une protection différente selon les variantes du virus et que les policiers et policières n’étaient pas plus susceptibles de contracter le COVID-19 que le reste de la population, même si leurs contacts avec des personnes sont très fréquents.